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Les agriculteurs ont les clés pour réduire les « pertes et gaspillages »

Une étude de l’agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’énergie (ADEME) montre que le gaspillage alimentaire n’est pas seulement le produit des attitudes du consommateur mais qu’il est qu’il commence dès la production. En effet, 32 % des pertes, en volume, se joue au moment de la production. Cela représente 12 % des émissions de carbone dues au gaspillage alimentaire.
 
L’étude se focalise sur cinq fruits et légumes : la pomme de terre, la pêche-nectarine, la pomme, la salade et le chou-fleur. Pour ce dernier, 55 % des pertes sont constituées lors de la récolte, notamment à cause de la coloration qu’il peut prendre dû aux condition climatique et qui le rend « non-conforme » pour le marché. Les plus grosses pertes reviennent à la salade (70 %) au moment de la récolte et à la pomme de terre (75 %) lors du conditionnement et du stockage.
 
Trois pistes pour avancer
L’ADEME propose trois grandes lignes afin de réduire au maximum ce gaspillage. Il faut que, au niveau de la production, les centres techniques agricoles aident les producteurs à se familiariser avec les différentes techniques qui permettent de réduire les pertes. Les filières aussi doivent intégrer ce risque dans leurs choix stratégique et faire preuve de transparence sur les produits refusés. Enfin, il faut que les acteurs des filières agricoles se sensibilisent sur cet enjeu en questionnant la réglementation actuelle.

Source : Campagnes et Environnement

Date de publication: