A cause de la sécheresse de 2018, de nombreux producteurs de la région ont perdu jusqu’à 35 % de leur rendement. Si on ajoute à cela la présence de doryphores, de petits insectes pouvant anéantir des cultures de pommes de terre, l’Ain pourrait connaître un manque de pommes de terre à l’avenir.
Pour palier cela, plusieurs stratégies sont adoptées : certains ont rationné les ventes pour passer l’hiver, tandis que d’autres profitent de la hausse des prix pour compenser la perte.
Source : leprogres.fr