Abonnez-vous à notre lettre d'information quotidienne pour vous tenir informé(e) des dernières actualités!

S'abonner Je me suis déjà inscrit(e)

Comme nous donnons la possibilité de consulter nos articles gratuitement, nous comptons sur les revenus de nos bannières publicitaires. Merci donc de désactiver votre bloqueur de publicités et de réactualiser la page pour pouvoir poursuivre votre visite sur ce site.

Cliquez ici pour savoir comment désactiver votre bloqueur de publicité.

Sign up for our daily Newsletter and stay up to date with all the latest news!

S'abonner I am already a subscriber

Le leader du parti au pouvoir en Roumanie veut réinstaurer les magasins de fruits et légumes appartenant à l’État

Liviu Dragnea, le chef du Parti social-démocrate (PSD) au pouvoir, a plaidé en faveur de la relance des magasins publics de fruits et légumes, connus sous le nom d'aprozar. Il prétend que cela aiderait les Roumains à manger des produits de meilleure qualité.

Dragnea a expliqué : « Nous devons établir des fonds et un système national pour collecter les produits locaux et les exporter, parce que je voudrais m'assurer que lorsqu'un enfant prend une bouchée d'une pomme, elle est propre ou lorsque nous achetons une tomate, elle a le goût et l'odeur d'une tomate. On m'a dit qu'on ne peut rien y faire mais je ne suis pas d'accord, on peut faire quelque chose ! Pourquoi ne pas refaire le réseau d'aprozare en Roumanie ? Ce n'est pas le communisme. N'est-ce pas une honte nationale que les producteurs ne puissent pas vendre leurs produits en magasin ? Les étrangers nous hueraient-ils dessus ? » 

Romania-insider.com rapporte comment le Ministère de l'Agriculture a récemment mis en place la Unirea Agro-trade House, dans le but d'augmenter la consommation de produits locaux et d'établir un réseau national de magasins pour concurrencer les hypermarchés et supermarchés étrangers, a rapporté Adevarul. Le gouvernement a déclaré qu'il investirait, par l'intermédiaire de sa maison de commerce Unirea, détenue à 100 millions d'euros, pour le développement de l'infrastructure agro-industrielle dans le but d'aider les petites exploitations agricoles à vendre leur production, à remplacer 30 à 40 % des denrées actuellement importées et à accroître à terme la part de l'agriculture dans le PIB du pays.

Date de publication: