Abonnez-vous à notre lettre d'information quotidienne pour vous tenir informé(e) des dernières actualités!

S'abonner Je me suis déjà inscrit(e)

Comme nous donnons la possibilité de consulter nos articles gratuitement, nous comptons sur les revenus de nos bannières publicitaires. Merci donc de désactiver votre bloqueur de publicités et de réactualiser la page pour pouvoir poursuivre votre visite sur ce site.

Cliquez ici pour savoir comment désactiver votre bloqueur de publicité.

Sign up for our daily Newsletter and stay up to date with all the latest news!

S'abonner I am already a subscriber

Les pommes de terre de l’Île Noirmoutier arborent un label rouge

Depuis novembre, les pommes de terre de la coopérative agricole de Noirmoutier peuvent arborer un label rouge sur ses étiquettes. Cela dénote une reconnaissance de leur qualité.

Les premières pommes de terre de l’année commencent à être récoltées chez les 28 producteurs de patates de l’île. La saison finira vers la fin du mois d’août. Chaque jour, 20 tonnes de pommes de terre sont récoltées, lavées et expédiées. On les retrouve dans les supermarchés locaux et à Rungis « le lendemain de leur sortie de terre », assure Nicolas Paille, le directeur de la coopérative. « La récolte à la main, c’est essentiel parce que la patate de Noirmoutier est très fragile », explique un producteur qui compte produire 12 000 tonnes de patates cette année. Elle emploie 40 équivalents temps-plein sur une trentaine d’exploitations.

Les pommes de terre actuelles sont donc les premières à bénéficier du fameux label rouge. « Les premières apparitions du label sur les emballage se feront à partir du 8 avril », explique Nicolas Paille. « On a parlementé longtemps sur le label rouge, parce que vous avez affaire à des Îliens, on ne voulait pas changer notre savoir-faire ancestral ».

De plus, la coopérative va aussi lancer des patates « zéro résidu de pesticides » et vise des emballages sans plastique. « Notre technique qui consiste à planter et récolter à la main une grande partie des pommes de terre fait qu’on en était déjà arrivé à ce résultat. Il fallait juste le faire reconnaître officiellement », assure Nicolas Paille. 

Source : foodandsens.com

Date de publication: