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La vente directe sur les marchés avant tout

Jean-François Brivary, producteur de fraises et de fruits rouges installé depuis 37 ans à Lezoux, a fait le choix de privilégier la vente en direct sur les marchés plutôt que de proposer ses produits aux grands revendeurs.

Depuis près d’une quarantaine d’année, il écume les marchés de la région du Puy-de-Dôme, de Brioude à Clermont-Ferrand en passant par Issoire, Riom, Thiers, Ambert, Courpière, et Roanne. « Au départ, on entendait parler que du prix. Aujourd’hui, on parle qualité, caractéristiques des produits, mode de culture… On échange avec les clients et c’est ça qui est intéressant quand on est producteur, parce qu’on peut vraiment parler de notre travail ».

« Quand on vend en gros, on ne maîtrise pas les prix. Moi, je calcule le prix en fonction de mes coûts de revient », déclare Jean-François. Il produit chaque année entre 30 et 80 tonnes de fruits. Cette année, il devrait faire une cinquantaine de tonnes produites de Pâques à la Toussaint.

« J’ai l’impression que la vente directe est en progression au détriment de la grande distribution. C’est un juste retour pour les producteurs », conclut-il.

 


Source : lamontagne.fr

Photo de la première page: © Dreamstime

Date de publication: