L'Europe est le premier producteur mondial de citrons avec une moyenne de 1 200 000 tonnes par an, grâce à un modèle de production unique qui garantit que le fruit possède les normes de qualité certifiées les plus élevées au monde en matière de sécurité alimentaire, de traçabilité et de durabilité.
L'Espagne produit environ 60 % des citrons européens. Les conditions climatiques de la Méditerranée étant idéales pour la culture de ce fruit riche en vitamine C.
Le leadership de l'Europe n'est pas un hasard
Depuis des années, le secteur travaille sur un manuel de principes et de recommandations pour le traitement du citron qui aide les producteurs à mener une lutte antiparasitaire correcte, à réduire leur utilisation de produits phytosanitaires et à améliorer l'après-récolte pour obtenir des citrons sains et naturels.
En outre, le secteur européen du citron promeut également un manuel de recommandations sur la responsabilité sociale des entreprises couvrant trois dimensions sur lesquelles chaque entreprise développe des activités et des comportements responsables. L'objectif est de générer de la valeur et de garantir la durabilité sociale, économique et environnementale à moyen et long terme.
En conséquence, les labels de qualité GlobalGAP et GRASP certifient que le citron européen est une production sûre qui respecte l'environnement, la biodiversité, la santé et la sécurité de ses travailleurs, en réduisant le gaspillage des ressources nécessaires tout en appliquant les meilleures pratiques pour les générations futures.
Le secteur européen du citron, qui a lancé la campagne Welcome to the Lemon Age, vise également à générer et à distribuer de la valeur ajoutée parmi les employés et les actionnaires, en tenant compte des conditions du marché, de l'équité et de la justice. C'est pourquoi toutes les opérations d'achat et de vente de citrons en Espagne doivent être formalisées par le biais d'un type de contrat agréé qui s'adapte aux conditions exigeantes établies par la loi 12/2013 sur la sécurité de la chaîne alimentaire, qui est résumée dans le Code de bonnes pratiques en matière de contrats alimentaires (CBPCA) promulgué par le ministère espagnol de l'agriculture, de la pêche et de l'alimentation.
Source : telecinco.es