À Saint-Dizant, Lorignac, Saint-Thomas, Mirambeau et Saint-Bonnet, quinze trufficulteurs se sont installés pour faire revivre la production du tuber mélanosporum (truffe). Ils ont investi dans des jeunes plants d’arbres truffiers, tels que des chênes verts, des chênes pubescents, des chênes pédonculés, des noisetiers, des tilleuls, ou encore des charmes, plantés par lot de 250 à l’hectare.
Il faudra cependant cinq à sept ans de germination aux truffières pour se développer dans ces sols au PH variant entre 7 et 8 ; les terres acides ne correspondant pas pour cette production de champignons souterrains.
Une fois récoltées, les truffes seront classées en trois catégories basées sur leur couleur, leur aspect, leur odeur et leur morphologie. Elles se vendront entre 500 et 800 euros le kilo.
Source : sudouest.fr