Abonnez-vous à notre lettre d'information quotidienne pour vous tenir informé(e) des dernières actualités!

S'abonner Je me suis déjà inscrit(e)

Comme nous donnons la possibilité de consulter nos articles gratuitement, nous comptons sur les revenus de nos bannières publicitaires. Merci donc de désactiver votre bloqueur de publicités et de réactualiser la page pour pouvoir poursuivre votre visite sur ce site.

Cliquez ici pour savoir comment désactiver votre bloqueur de publicité.

Sign up for our daily Newsletter and stay up to date with all the latest news!

S'abonner I am already a subscriber

« Retour à l’authentique » en Belgique avec les légumes oubliés

BelOrta, une coopérative rassemblant des centaines de producteurs belges de fruits et légumes, a fait le bilan de l’année 2020, indiquant avoir terminé « l'année civile 2020 avec un chiffre d'affaires produit de 480 millions d'euros, soit une augmentation de 7 % par rapport à 2019, et une vente totale de 665 millions d'unités de fruits et légumes frais, ce qui représente au total environ 490 millions de kg ».

Les volumes des légumes de serre ont gagné 6 % l’année dernière, alors que ceux de plein champ ont perdu 4 %. Parmi les produits largement proposés par les producteurs belges, on retrouve les concombres, les poivrons rouges et les tomates. Les choux-fleurs, courgettes et aubergines ont quant à eux enregistré une baisse de production.

La grande surprise, aussi bien au niveau de la production que de la consommation, ce sont les légumes oubliés. Le panais s'avère être particulièrement apprécié du public : « En quelques années, la production a augmenté de plus de 23 %. Il est très populaire pour la purée ou même en frites, c’est sain et c’est bon », explique Glenn Sebregts, responsable de la communication chez BelOrta. « De plus en plus d’agriculteurs se lancent ainsi dans cette production. C’est une culture en pleine terre, comme les choux, relativement facile, une culture qui ne craint pas le froid. Pas besoin d’avoir le climat de l’Espagne ».

Les produits tels que la betterave (+64 % de production), le navet (+45 %) ou encore la patate douce, ont enregistré de belles performances. Leur succès s’explique car ils « sont vendus à des prix très raisonnables et souvent variés. On trouve aujourd’hui en Belgique des betteraves de toutes les couleurs. Nous n’hésitons pas à faire la promotion de ces légumes sur nos sites, notamment par de nombreuses recettes », poursuit Glenn Sebregts. « Le Belge veut de plus en plus du local et s’oriente, au niveau de la cuisine, vers un retour à l’authentique ».

 


Source : sudinfo.be

Photo de la première page: © Dreamstime

Date de publication: