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BLE, Semaine 23 :

Les premières pêches et nectarines françaises sont venues compléter le marché

Les livraisons espagnoles prédominantes de nectarines et de pêches se sont développées. Les lots italiens ont suivi en termes d'importance, mais n’ont cependant joué qu'un rôle mineur dans l'ensemble. Les premières offres françaises ont complété les activités. À 4 € par kg à Hambourg, elles ont occupé la première place en termes de prix. Selon la BLE, les importations turques ont jusqu'à présent été repérées à Francfort exclusivement. Globalement, la demande n'a pas pu suivre le rythme de l'augmentation de la disponibilité. Les tarifs étaient sensiblement plus élevés que les années précédentes.

Les excédents n'ayant pu être évités, les négociants ont baissé leurs demandes antérieures de manière généralisée, mais cela n'a pas toujours favorisé les ventes. Les stocks et la qualité plutôt irrégulière qui leur est associée ont provoqué des écarts d'évaluation importants. Les fruits à chair jaune ont été les plus touchés. Les premières livraisons grecques sont attendues en semaine 24.

Fraises
Les offres locales ont dominé le paysage. Les offres polonaises, néerlandaises et belges ont complété l'assortiment avec de très petites quantités. Après le week-end de la Pentecôte, une certaine saturation de la clientèle n'a pu être niée dans certains endroits. Ici et là, les possibilités de stockage sont restées en retrait par rapport à la disponibilité.

Pommes
L'offre européenne était limitée : les pommes Elstar et Jonagored ont perdu de leur importance, de même que les pommes Braeburn et Pink Lady italiennes et les pommes Jazz françaises. L'intérêt pour les produits alternatifs n'a pas été particulièrement vif. Dans le cas des offres plus récentes, les disponibilités ont évidemment augmenté.

Poires
L'offre a été quelque peu limitée. Les importations sud-africaines ont donné le ton, avec notamment les Packham's Triumph, Abate Fetel et Forelle. La Flamingo a cessé ses activités. En provenance du Chili, on trouvait principalement des Abate Fetel et des Forelle, les Red Williams Christ ne jouant qu'un petit rôle.

Raisins de table
Les lots italiens semblaient désormais dominer les marchés. La présence de Black Magic et de Victoria s'est manifestement accrue. Cela a eu un impact direct sur les prix, qui ont baissé de manière globale. L'émergence accrue des produits européens a entraîné une baisse sensible de l'intérêt pour les produits d'outre-mer.

Abricots
Les livraisons espagnoles ont prédominé, suivies en nombre presque égal par les livraisons italiennes et françaises. En outre, des importations turques ont eu lieu, surtout à Munich. Les premiers Lillycots grecs y ont également fait leur apparition. À Francfort, les premiers fruits locaux étaient disponibles : les clients devaient payer 24 € par caisse de 5 kg.

Cerises
L'assortiment s'est fortement développé, car les approvisionnements en provenance d'Espagne, de Grèce, de Turquie, d'Allemagne et d'Italie ont fortement augmenté. Les fruits français, d'un prix assez élevé, ont complété la gamme en petites quantités. En général, la demande a rarement suivi le rythme de l'offre accrue.

Citrons
Les expéditions espagnoles étaient légèrement limitées, mais elles ont toujours caractérisé le tableau. Les Eureka d'Afrique du Sud et d'Argentine n'ont rien laissé à désirer en termes de qualité. Ils ont gagné de plus en plus de parts de marché.

Bananes
Globalement, l'offre était suffisamment adaptée aux besoins. La demande pouvait être satisfaite sans grands efforts. Néanmoins, les prix ont évolué en certains endroits, mais à petite échelle.

Chou-fleur
Les produits nationaux ont prédominé. Ils étaient disponibles localement en situation de monopole. Les produits belges et néerlandais avaient tout au plus un caractère complémentaire. La demande n'était pas particulièrement forte et pouvait être facilement satisfaite.

Laitue
La laitue provenait à parts presque égales d'Allemagne et de Belgique. La laitue iceberg provenait principalement d'Allemagne et par la suite des Pays-Bas. Dans le cas des laitues colorées, l'offre nationale était surtout accessible. Dans l'ensemble, le commerce a été assez calme.

Concombres
Les concombres serpentins nationaux ont dominé le marché. Les livraisons néerlandaises et belges ont complété le tableau. La qualité était en règle générale convaincante. Néanmoins, la majorité des prix étaient orientés à la baisse. Les raisons de cette tendance sont une demande insuffisante des clients, une offre trop abondante et des promotions par les détaillants alimentaires.

Tomates
Les tomates grappes ont évidemment dominé et provenaient principalement des Pays-Bas et de la Belgique. Ces deux pays ont également donné le ton pour les tomates rondes et les tomates cerises. Les livraisons d'Allemagne, d'Italie, d'Espagne, de France et de Pologne étaient tout au plus de nature complémentaire.

Poivrons 
Comme précédemment, les livraisons néerlandaises ont dominé. La Turquie n'a fourni que des articles verts et rouges. Des lots belges ont complété les opérations. Les livraisons nationales et espagnoles ont complété le tout en très petites quantités. La commercialisation a été faible en général.

Asperges
Les offres locales ont évidemment prédominé. Dans le secteur des asperges blanches, des importations de Pologne ont également eu lieu. Dans le cas des asperges violettes, il s'agissait de livraisons grecques. Au niveau des asperges vertes, des articles italiens, hongrois et polonais ont complété l'assortiment. Les prix ont souvent grimpé.

Source : BLE

 

Date de publication: