Abonnez-vous à notre lettre d'information quotidienne pour vous tenir informé(e) des dernières actualités!

S'abonner Je me suis déjà inscrit(e)

Comme nous donnons la possibilité de consulter nos articles gratuitement, nous comptons sur les revenus de nos bannières publicitaires. Merci donc de désactiver votre bloqueur de publicités et de réactualiser la page pour pouvoir poursuivre votre visite sur ce site.

Cliquez ici pour savoir comment désactiver votre bloqueur de publicité.

Sign up for our daily Newsletter and stay up to date with all the latest news!

S'abonner I am already a subscriber
Maxime Gervasoni, Le Tresquois – « Nous aurons des asperges pour la St Valentin » :

« Ici, on cultive de l’asperge comme on produit du vin ! »

C’est depuis 1950 que la famille Gervasoni cultive des asperges sur son exploitation dans le Gard. Un produit que Maxime Gervasoni, 4e génération sur la ferme, affectionne particulièrement : « J’aime l’asperge, je trouve que c’est un produit qui est très bon et j’adore la travailler. Nous apprenons sans cesse avec ce légume. C’est une production très technique, très intéressante, en perpétuelle évolution et à laquelle on se prend facilement au jeu ». 

Une histoire de terroir 
Une véritable passion que l’asparagiculteur - aussi vigneron et arboriculteur - aime comparer au vin : « l’asperge, c’est comme le vin. C’est une histoire de terroir ! A l’image des cépages, les asperges s’expriment de manière différente en fonction de la nature du sol et des conditions pédoclimatiques associées à la parcelle. Cela fait deux ans que nous avons repris une ancienne cave coopérative du village qui date de 1928 et que nous faisons notre propre Côtes-du-Rhône. Ce sont nos vignes qui nous guident sur la sélection de nos parcelles pour la culture de l’asperge. Dans cette recherche perpétuelle d’une qualité gustative optimale, nous cherchons à identifier les parcelles sur lesquelles nos différentes variétés d’asperges exprimeront pleinement leur potentiel gustatif. C’est un travail de longue haleine mais ô combien passionnant ».  

Des asperges pour la Saint-Valentin 
Avec cette double-casquette qu’il met au service d’une démarche commune, l’asparagiculteur-vigneron propose à ses clients des recettes avec des accords mets/vin visant à sublimer le légume printanier. Une dégustation qui peut se faire dès la Saint-Valentin : « Nous cherchons des chefs qui voudraient se prêter au jeu avec nous. C’est quelque-chose qui pour l’instant a l’air de plaire, et qui peut être mis en place dès la Saint-Valentin étant donné que nous proposons des asperges pour cet évènement. En tant que premier produit de printemps avec la fraise, nous avons en général à cette période une bonne demande, surtout de la part des restaurateurs ».  

Une station de conditionnement et une plateforme de stockage sur l’exploitation 
Outre les chefs, Le Tresquois propose ses asperges à la Grande distribution française mais aussi en vente directe à la ferme. « Nous pouvons également offrir des prestations pour d’autres pays car nous possédons notre propre station de conditionnement et une plateforme de stockage ». Actuellement, l’exploitation produit 15 % d’asperges vertes, « produit de plus en plus apprécié par les consommateurs du Sud », pour un tonnage annuel total avec l’asperge blanche de 500 à 600 tonnes.  

Pour plus d’informations :  
Maxime Gervasoni
Le Tresquois 
Tél. : 06 48 81 85 00 
commerce@letresquois.com