Abonnez-vous à notre lettre d'information quotidienne pour vous tenir informé(e) des dernières actualités!

S'abonner Je me suis déjà inscrit(e)

Comme nous donnons la possibilité de consulter nos articles gratuitement, nous comptons sur les revenus de nos bannières publicitaires. Merci donc de désactiver votre bloqueur de publicités et de réactualiser la page pour pouvoir poursuivre votre visite sur ce site.

Cliquez ici pour savoir comment désactiver votre bloqueur de publicité.

Sign up for our daily Newsletter and stay up to date with all the latest news!

S'abonner I am already a subscriber
Benoît Maillard-Guillon, Ets Meseguer :

« On pourrait vendre aisément le double d’oranges que l’on a »

En cette période où très peu d'origines sont disponibles, le marché de l'orange de bouche est actuellement sous-approvisionné. Une situation qui devrait durer jusqu'au début de la campagne espagnole à la mi-octobre : « L'origine Sud-Africaine est aujourd'hui quasiment la seule présente sur le marché. C'est une campagne très difficile dû à plusieurs phénomènes. Il y a une légère baisse de volume par rapport à l'année précédente et beaucoup de retards engendrés par une logistique et un trafic maritime perturbés », rapporte Benoît Mallard-Guillon des Ets Meseguer.

Une offre d'autant plus réduite que la concurrence avec les marchés asiatiques est difficile : « Comme l'Afrique du Sud est actuellement l'origine majoritaire sur le marché, la concurrence entre les pays importateurs est rude. Les producteurs préfèrent envoyer leurs marchandises sur les marchés asiatiques qui sont des marchés porteurs et vers lesquels il est plus facile d'exporter. L'Europe n'est pas leur priorité. Il y a donc très peu de marchandise disponible sur le marché français où la régulation est plus difficile à faire au niveau des arrivages ».

Niveau qualité en revanche, l'origine reste à la hauteur des attentes : « Les producteurs Sud-Africains sont vraiment très doués pour la culture d'agrumes. La qualité gustative de leurs oranges est assez remarquable. Si l'on pouvait avoir le double des volumes que l'on a actuellement, on les vendrait aisément ».

Pour plus d'informations :
Ets Meseguer
Benoît Maillard-Guillon
Tél. : +33 146 864 170
[email protected]
www.etsmeseguer.fr