Abonnez-vous à notre lettre d'information quotidienne pour vous tenir informé(e) des dernières actualités!

S'abonner Je me suis déjà inscrit(e)

Comme nous donnons la possibilité de consulter nos articles gratuitement, nous comptons sur les revenus de nos bannières publicitaires. Merci donc de désactiver votre bloqueur de publicités et de réactualiser la page pour pouvoir poursuivre votre visite sur ce site.

Cliquez ici pour savoir comment désactiver votre bloqueur de publicité.

Sign up for our daily Newsletter and stay up to date with all the latest news!

S'abonner I am already a subscriber
Marché de la tomate en France :

Une qualité très hétérogène et des prix qui varient fortement

Nous sommes à la croisée des campagnes pour la tomate française : « beaucoup de producteurs sont sur le point de terminer leur saison », indique un professionnel du secteur. « Les prix tournent autour des 1,80 euros/kilo pour la tomate grappe, 1,50 euros/kilo pour la ronde et 1,80 euros/kilo pour la charnue. On pourrait vendre plus cher, mais le marché français a suffisamment de volume, ce qui empêche les cours de remonter. A noter également une disparité de qualité en fin de campagne, qui induit un prix variant fortement entre les différents lots ».


© Dreamstime

Des prix qualifiés de « corrects », même s'ils restent en-dessous des productions frontalières : « Le marché français n'est pas celui où le prix des tomates est le plus élevé en Europe en ce moment. Les Hollandais et les Belges n'ont pas énormément de volume, donc les prix sont plus soutenus, aux alentours de 2,20 euros/kilos pour la grappe. Quant à l'origine Espagnole, elle n'est pas encore arrivée en France car la consommation interne reste présente et le produit est mieux valorisé à l'export. Nous avons donc un marché français qui n'est pas surchargé en tomate d'import ».

Une transition qui se fait également côté consommation : « Il y a très peu de promotions organisées. Quelques producteurs ont récolté les premières tomates de leur nouvelle récolte mais qui restent en quantité limitée. On est clairement dans la bascule entre une consommation estivale/automnale et une consommation hivernale avec donc moins de demande ».