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William Nannes, de J.P. Beemsterboer Food traders et Jan Franje, de Franje Onions (Pays-Bas)

« Le prix de l'oignon départ producteur est plus élevé que le prix de gros »

Les producteurs étant très fermes sur le prix de leurs oignons et les exportations restant calmes, le marché de l'oignon est dans l'expectative et attend avec impatience les semaines à venir. « Actuellement, le prix chez l'agriculteur est parfois même plus élevé que le prix de gros. Il est évident que cette situation n'est pas tenable. La question est de savoir qui aura raison », déclare Jan Franje de Franje Onions.


William Nannes et Jan Franje

« Il y a encore des cargaisons à destination de l'Afrique, mais nous en arrivons au moment où l'Europe doit vraiment prendre le relais. On entend toute sorte de rumeurs selon lesquelles des pays comme l'Autriche sont en déficit d'oignons, mais cela ne se reflète pas dans la demande pour l'instant. Au niveau européen, elle n'a pas encore vraiment décollé. Les producteurs misent sur cela, mais la question est de savoir si le marché ne stagne pas trop longtemps à ce stade. »

Selon le conditionneur, « Les prix varient beaucoup en fonction de la qualité et de la destination. C'est un véritable dilemme que d'acheter ou non des oignons. Dans tous les cas, le prix de gros devra augmenter. La qualité est très variable et il y a des des problèmes de germination. » Le marché des oignons rouges est également calme, et en ce qui concerne le bio, l'emballeur a complètement arrêté cette saison, à l'exception de quelques contrats. « Ce marché a tellement changé par rapport à il y a dix ans, c'est incroyable. En ce moment, les oignons biologiques sont très chers, mais il y a très peu d'échanges commerciaux. »

Franje se réjouit de l'investissement dans les calibreuses de qualité de Flikweert Vison. « Cela facilite grandement le travail. Cette semaine, nous avons eu un lot avec une tare de 14 %, ce qui nous permet de traiter le même volume qu'auparavant avec le même nombre d'employés. Cela fait maintenant un an et demi que ces machines fonctionnent. Aujourd'hui, elles sont inspectées par les mécaniciens afin de déterminer le plan de maintenance nécessaire pour les années à venir. »

« Pour nous, en tant qu'exportateur vendant exclusivement en dehors de l'Europe, les exportations sont très faibles en ce moment. Heureusement, nous transportons beaucoup d'autres produits, mais si nous dépendions de l'Afrique pour traiter des oignons, ce serait bien calme », observe l'acheteur William Nannes de J.P. Beemsterboer Food Traders.

« En même temps, les producteurs d'oignons sont très optimistes. Si on regarde les chiffres du CBS, il y a suffisamment d'oignons dans toute l'Europe, mais la question est de savoir combien de lots restent suffisamment qualitatifs pour l'exportation et iront jusqu'en mai et juin. Car la vitalité des oignons est déjà nettement moindre. » Selon Nannes, l'optimisme s'est maintenant dissipé chez les producteurs de pommes de terre. « Les prix des pommes de terre sont en train de chuter assez fortement et cela touche de plein fouet les agriculteurs. Cette situation devra d'abord se stabiliser pendant un certain temps, mais elle pourrait conduire à une plus grande ouverture du commerce. »

Pour plus d'informations :
Jan Franje
Franje Onions
Tél. : +31 113501658
[email protected]
www.franjeonions.nl

William Nannes
J.P. Beemsterboer Food Traders
Tél. : +31 226396408
[email protected]
www.beemsterboer.nl