Abonnez-vous à notre lettre d'information quotidienne pour vous tenir informé(e) des dernières actualités!

S'abonner Je me suis déjà inscrit(e)

Comme nous donnons la possibilité de consulter nos articles gratuitement, nous comptons sur les revenus de nos bannières publicitaires. Merci donc de désactiver votre bloqueur de publicités et de réactualiser la page pour pouvoir poursuivre votre visite sur ce site.

Cliquez ici pour savoir comment désactiver votre bloqueur de publicité.

Sign up for our daily Newsletter and stay up to date with all the latest news!

S'abonner I am already a subscriber
Rapport sur le marché des pommes de terre – Semaines 41-42 (Allemagne) :

« Les commerçants ont dû accorder des réductions ponctuelles »

Les lots allemands dominaient nettement le marché, complétés ponctuellement par quelques importations en provenance de France et des Pays-Bas. L'éventail variétal restait large et la qualité globalement satisfaisante. Selon la BLE, la disponibilité s'est accrue, dépassant par endroits les capacités de stockage. Les distributeurs ont donc été contraints d'accorder des réductions ponctuelles. Seule Berlin a signalé une hausse des prix pour la variété française Charlotte.

© BLE

Basse-Saxe :
De plus en plus d'exploitations ont pu achever la récolte des pommes de terre de consommation la semaine dernière. Le marché a cependant continué à être approvisionné en produits fraîchement arrachés. Les prix sont restés stables, sans évolution notable. Il est probable qu'une grande partie des exploitations termine la récolte cette semaine. « Les pommes de terre affluent de toutes parts sur le marché », résume un agriculteur.

Rhénanie-du-Nord–Westphalie :
Le stockage des pommes de terre de consommation est désormais quasi terminé. Sur le marché des pommes de terre industrielles, les transformateurs se montrent particulièrement exigeants en matière de qualité. Lors de la récolte comme du stockage, la devise reste claire : « La qualité avant la quantité ».

Schleswig-Holstein :
Dans ce Land, la récolte touche à sa fin, voire est déjà terminée dans de nombreuses exploitations. Le marché reste marqué par une offre surabondante : seuls les lots d'une qualité irréprochable trouvent preneur et sont stockés. Face à des rendements exceptionnels, les capacités de stockage atteignent leurs limites, si bien qu'une partie de la production est redirigée vers des débouchés alternatifs. Dans certains cas, des parcelles entières ne sont même plus arrachées, faute de débouchés suffisants. Sur le segment des pommes de terre industrielles, la situation reste difficile, bien qu'un léger plancher semble se dessiner.


Rhénanie-Palatinat :
Les prix à la production se stabilisent à un niveau bas. Le commerce de détail soutient activement la vente de pommes de terre de consommation à travers de vastes opérations promotionnelles, sans pour autant pratiquer des tarifs inférieurs à ceux déjà proposés. Bien que la récolte principale soit désormais largement achevée, les produits frais de plein champ continueront à exercer une pression sur l'offre pendant quelque temps encore. Par ailleurs, pour lutter contre la cicadelle vectrice de la flavescence dorée, il a été décidé d'assouplir à partir de 2026 l'application de la jachère noire conforme aux BCAE.


Saxe :
Dans le Land de Saxe, les prix des pommes de terre demeurent inchangés depuis plusieurs semaines.


Hesse :
En Hesse également, les prix restent stables par rapport à la semaine précédente. « Cette année, les volumes se situent dans la fourchette haute », explique Matthias Bott, de la ferme éponyme à Schauenburg. Cependant, il note un léger ralentissement des ventes : « Beaucoup de particuliers cultivent leurs propres pommes de terre, et l'offre est importante dans les supermarchés », précise-t-il. Les pommes de terre fraîches, vendues principalement dans la région, sont stockées pour l'hiver. En année ordinaire, l'exploitation Bott récolte entre 500 et 700 tonnes de pommes de terre.

Mecklembourg-Poméranie occidentale :
Dans le nord-est, la récolte touche elle aussi à sa fin. Au marché de Sülte, le stockage des tubercules produits localement bat désormais son plein. « Le stockage reste un véritable travail de précision. En respectant quelques règles élémentaires, on peut conserver longtemps ses légumes. Et si cela ne fonctionne pas : fin février ou début mars, les premiers plants de pommes de terre seront disponibles ; une nouvelle saison pourra alors commencer », explique Steffen Kantwill. Souhaitez-vous que je prépare une version plus journalistique et synthétique (adaptée à un bulletin professionnel du marché agricole) ou que je conserve ce style de rapport détaillé, mais avec un ton encore plus fluide et homogène pour publication dans un média spécialisé ?

Date de publication:

Articles connexes → See More