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Hans Liekens, de Sekoya (Belgique) :

« La France et la Belgique restent des territoires à conquérir pour nos variétés de fruits rouges »

Avec environ cinq variétés de myrtilles, le programme Sekoya® couvre désormais la culture dans 18 pays du monde entier sur une superficie de 10 000 hectares dans les cultures à refroidissement nul et faible d'une part, et à refroidissement moyen et élevé d'autre part. « Nous aimerions introduire une autre variété dans le segment des cultures tardives à faible refroidissement pour les cultures du nord du Maroc et de Huelva, entre autres, pour cette période de l'année. Ainsi, nous serons assurés de disposer 52 semaines par an de baies Sekoya de qualité constante. La semaine prochaine, nous examinerons les sélections et l'introduction finale ne tardera pas », déclare Hans Liekens, responsable de la chaîne de valeur et de la vente au détail.


Hans Liekens et Anja Grueterich de Sekoya

Selon le Belge, qui a travaillé auparavant pour Hessing et Chiquita, le besoin d'une qualité constante est important. « La semaine dernière encore, j'ai acheté une barquette de myrtilles espagnoles au supermarché. On les paie très cher, et j'ai dû en jeter la moitié. C'est inacceptable à mes yeux : il y a suffisamment de fruits de qualité disponibles pour approvisionner les consommateurs. Le marché pourrait se développer beaucoup plus rapidement si tout le monde fournissait en continu des fruits qualitatifs. » Les supermarchés sont également de plus en plus conscients de cette situation, selon Liekens. « Suivant l'exemple du Royaume-Uni, de plus en plus de supermarchés européens travaillent avec des listes positives et négatives des variétés qu'ils vendront ou ne vendront pas. Cela va avoir un impact substantiel sur le marché. »

Les saisons espagnole et marocaine se sont bien déroulées, selon lui. « On constate qu'en Espagne, outre la culture à Huelva, de plus en plus de variétés Sekoya sont plantées dans d'autres régions telles que Valence et La Mancha. En fait, les nuits plus froides de ces régions sont idéales pour les myrtilles et, par conséquent, la période de récolte évolue également, de sorte que les saisons deviennent de plus en plus homogènes. Auparavant, nous alternions des pics d'approvisionnement avec des périodes plus calmes après la saison espagnole, mais maintenant nous pouvons passer sans problème aux fruits serbes. Nous avons également fait des heureux au Maroc et les producteurs ont eu des fruits d'excellente qualité cette saison. »

Comme une évidence
Avec les variétés Sekoya Crunch, Grande et Fiesta, Sekoya se prépare à nouveau à la saison des grands froids qui s'étend notamment de début juillet à septembre. « Cela concerne en fait toutes les cultures de fruits rouges de la ligne au-dessus de Paris et donc des Pays-Bas au Royaume-Uni, à l'Ukraine et à la Roumanie. Ces variétés 'high chill' sont par ailleurs également cultivées au Chili. Sekoya est toujours à la recherche de producteurs pour le programme variétal, en particulier pour la culture en France et dans son pays d'origine, la Belgique. « J'avais presque l'intention de les cultiver moi-même, mais il semble que ce soit une zone encore vierge en ce qui concerne la culture de myrtilles de haute qualité. Nos variétés ont été développées dans l'Oregon, où le climat est similaire à celui de la France et de la Belgique. En fait, il n'est même pas nécessaire de tester les variétés. Il n'y a même pas besoin de réfléchir. Les consommateurs sont là, maintenant il nous faut encore des producteurs », explique Liekens.

Des variétés robustes
« Outre tous les avantages liés à la fermeté, à la taille, au goût, à l'aspect et à la durée de conservation des variétés Sekoya, celles-ci se révèlent également plus robustes face aux conditions climatiques extrêmes, qu'il s'agisse de sécheresse ou de pluie. Par exemple, notre producteur péruvien a indiqué qu'en dépit des défis posés par El Nino, il avait subi environ 30 % de dégâts, alors que ceux des variétés plus anciennes étaient supérieurs à 50 %. Au Cap, en Afrique du Sud, la saison dernière, la variété Sekoya-Pop a beaucoup mieux résisté aux fortes pluies », explique Liekens. « Cela montre à quel point l'introduction des nouvelles variétés est urgente. En ce qui concerne les zones de culture en altitude, c'est encoe pire. De plus en plus de supermarchés placent les anciennes variétés sur la liste négative parce qu'elles sont trop molles et qu'elles pourrissent ou moisissent trop rapidement et ne devraient donc plus se retrouver dans les supermarchés. »

« Nous travaillons d'arrache-pied sur la gestion des catégories afin de mieux segmenter les utilisations des myrtilles. Pensez à une catégorie distincte pour le petit-déjeuner, pour le grignotage et pour la gamme biologique. Certains y sont beaucoup mieux parvenus avec des produits comme les tomates, les carottes et les pommes de terre. Nous avons donc beaucoup de travail à faire pour aider les consommateurs à proposer la bonne myrtille au bon moment ! »

Pour plus d'informations :
Hans Liekens
Sekoya
Tél. : +32 477 531 529
hansl@sekoyafruit.com
www.sekoyafruit.com

Date de publication: