Abonnez-vous à notre lettre d'information quotidienne pour vous tenir informé(e) des dernières actualités!

S'abonner Je me suis déjà inscrit(e)

Comme nous donnons la possibilité de consulter nos articles gratuitement, nous comptons sur les revenus de nos bannières publicitaires. Merci donc de désactiver votre bloqueur de publicités et de réactualiser la page pour pouvoir poursuivre votre visite sur ce site.

Cliquez ici pour savoir comment désactiver votre bloqueur de publicité.

Sign up for our daily Newsletter and stay up to date with all the latest news!

S'abonner I am already a subscriber
Joël Boyer, Boyer :

« Nous sommes en plein cœur de production du Sud-Est et commençons la récolte de melons dans le Sud-Ouest »

Bien que la saison de melons ait cette année été retardée par les intempéries, elle se poursuit à un rythme plutôt normal : « Le mauvais temps et la fraîcheur de juin ont retardé la récolte, mais globalement, la saison se déroule bien. Nous arrivons actuellement au cœur de la saison du melon du Sud-Est avec une qualité dont nous sommes satisfaits, et nous sommes parallèlement au début de la saison du Sud-Ouest qui démarre avec de petits rendements ».

 
« Si certaines enseignes jouent le jeu, d’autres tirent le marché vers le bas »

D’un point de vue commercial, l’arrivée tardive de l’origine espagnole sur le marché et le positionnement de certains distributeurs auraient tendance à pénaliser l’origine France : « Nous pâtissons un peu de la présence des melons espagnols sur le marché français, alors que nous n’avons pas d’accumulation de production. En effet d’une part, nous avons eu une mauvaise nouaison sur les melonnières qui a impacté les rendements, et d’autre part la fraîcheur que nous avons connue sur les 15 jours de juin ont retardé la récolte. Par ailleurs, la consommation a elle aussi souffert de cette météo pluvieuse surtout au cours de la troisième semaine de juin, qui correspondait également à une période de fin de mois. Or aujourd’hui, le beau temps est revenu, la consommation est repartie à la hausse, l’offre est loin d’être excédentaire, et malgré cela, les prix sont anormalement bas. Si certaines enseignes jouent le jeu en ce qui concerne la valorisation de l’origine France, d’autres cherchent à proposer du melon français au prix le moins cher dans les rayons, ce qui pénalise lourdement les producteurs. Ils profitent d’une situation tendue artificiellement pour tirer le marché vers le bas, ce qui n’est pas correct ».


 
« Nous avons reçu le label Gourmet de France cette année »
Le melon Philibon a reçu cette année une note de 4,7/5 délivré par un jury composé de 10 chefs du Sud-Ouest présidé par Christian Etchebest. Le label « Gourmet de France », est annoncé par un nouveau sticker apposé sur le melon : « Il s’agit d’un regroupement de plusieurs chefs étoilés, qui dégustent des produits de saison. Parmi un panel de melons de différentes marques, ils ont élu celui qui leur semble le meilleur gustativement parlant, et cette année c’est notre melon Philibon qui a été choisi ».
 
Pour plus d’informations :
Joël Boyer
Boyer
Cell. : 06 07 63 85 73
[email protected]  
https://www.philibon.com