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Joël Boyer, Boyer :

« Nous avons commencé la récolte de prunes avec 15 jours d’avance »

Alors que la fraîcheur du mois de juin a retardé la saison du melon, elle n’a eu aucune incidence sur celle des prunes qui au contraire, est arrivée avec une quinzaine de jours d'avance : « La précocité de la récolte des prunes était déjà annoncée dès le printemps. La reine-claude vient tout juste de débuter alors que les premiers fruits arrivent normalement à la fin du mois de juillet », explique Joël Boyer de la société Boyer.
 
L’entreprise propose une gamme élargie de prunes : « Nous avons aujourd’hui toutes les couleurs disponibles à travers différentes variétés afin de pouvoir offrir une belle palette de produits au client ».


 
« Il est important de mettre en avant la prune française »
Boyer commercialise de la prune depuis 1991. Et pour Joël, il est très important de privilégier la prune française : « Le Tarn-et-Garonne est le premier producteur de prunes sur le plan national. Nous avons vraiment pour ambition de maintenir la production de prunes, qui fait partie intégrante de notre terroir et participe à la vie de nos campagnes. Mais pour cela, il est important de mettre l’origine France en avant. Pour le moment, la Grande Distribution joue le jeu. Ils ont démarré le commerce un peu tardivement, mais peuvent tout à fait se rattraper. C’est le moment de consommer les prunes d’autant plus qu’il y a moins d’abricots cette année. La consommation se met en place et on souhaite qu’elle s’accélère. Mais il y a aussi toute une éducation des agréeurs à refaire, qui se plaignent parfois que le produit est trop dur, d’autres fois trop souple. Or, la prune est mûre à point et nous demandons plus d’indulgence sur nos prunes qui sont des produits vivants et qui s’affinent dans le temps ».
 
« Nous nous attendons à avoir 60 à 70 % des volumes de récolte d’une année normale »
En ce qui concerne les prunes également, Joël s’attend à ce que la récolte soit plus faible sur l’ensemble des variétés avec un tonnage avoisinant les 5 000 tonnes : « Cela est principalement dû aux difficultés qu’il y a eu lors de la nouaison, avec des coups de vent d’Est et des gelées matinales. Il ne faut pas non plus oublier que nous avons eu une grosse campagne de production l’an dernier (120 % des volumes de récolte d’une année normale), et que le phénomène d’alternance amoindri cette année la récolte ».
 
Pour plus d’informations :
Joël Boyer
Boyer
Cell. : 06 07 63 85 73
joel.boyer@philibon.com  
https://www.philibon.com