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La production d'oignons en Afrique doit être adaptée à la concurrence internationale

Au Sénégal, l'International Finance Corporation (SFI) et le Fonds d'investissement pour l'agriculture et le commerce en Afrique (AATIF) ont annoncé conjointement un investissement de 13 millions d'euros pour financer la construction d'une usine de déshydratation d'oignons au Sénégal.

L'oignon est l'un des secteurs régionaux les plus dynamiques de l'Afrique de l'Ouest. Au Sénégal, en dix ans, sa production a été multipliée par dix et atteint aujourd'hui 400 000 tonnes. Le Nigeria et le Niger sont les deux leaders de la région avec respectivement 600.000 et 500.000 tonnes produites. Cependant, malgré ces gros tonnages, ces pays africains restent, à quelques exceptions près, de grands importateurs.

Cela signifie que le Nigeria, premier producteur d'Afrique de l'Ouest, doit, malgré une récolte annuelle de 600 000 tonnes, continuer d'importer des oignons. Le Sénégal, où les ménages en consomment 800 tonnes par jour, est lui aussi contraint d'importer. En 2017, le pays a absorbé un tiers des exportations d'oignons des Pays-Bas.


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Date de publication: