Rouquette a débuté la récolte du kiwi français au cours de la première semaine d’octobre, en commençant par les variétés précoces S4605/Summer. « Nous avons commencé à le commercialiser seulement depuis la seconde quinzaine d’octobre afin de respecter d’une part le minimum légal de taux de sucre (Brix) que doit contenir un kiwi pour sa commercialisation mais aussi pour satisfaire gustativement nos clients et ainsi ne pas bafouer l’excellence de la production française de kiwis. Nous avons la chance en France d’avoir une production rivalisant gustativement avec le kiwi du pays souverain dans le domaine (la Nouvelle-Zélande) », explique Julien Causse, commercial chez Rouquette.
L’entreprise enchaînera ensuite avec la variété Hayward pour ce mois de Novembre « Il est légal de le commercialiser à partir du 6 novembre ; mais là aussi nos premières expéditions seront effectives seulement si le produit offre une expérience gustative contenant toutes les vertus que demande le consommateur final ».
Des volumes de production satisfaisants pour cette année
La production de Rouquette se situant sur le Lot-et-Garonne et Tarn-et-Garonne obtiendra cette année une récolte assez satisfaisante, au moins égale à celle de l’année dernière. « Nous pouvons en quelque sorte s’en satisfaire ; en effet, les Landes, l’autre zone forte de la production française n’a malheureusement pas cette chance et souffrira d’une légère baisse de sa production due à de nombreux épisodes d’inondation. Nos voisins européens font face à la même difficulté, comme l’Italie, dont la récolte est inférieure de 20 à 30 % comparé à 2019 (qui était déjà déficitaire), là aussi dû à des conditions météorologiques défavorables.
« La Belle Epoque » : une marque qui a fait ses preuves
Rouquette dérive sur toute sa gamme de produits (Pomme/Melon/Prune et Kiwi) sa marque « La Belle Epoque ». « A travers cette marque, nous mettons tout en œuvre pour offrir à une clientèle connaisseuse un beau et surtout un bon produit. « La Belle Epoque » à fait ses preuves notamment cet été sur le melon ; nous voulons mettre maintenant en lumière le kiwi et donc apporter un suivi qualitatif pour notre clientèle ».
Des ventes qui restent dynamiques
Le premier confinement a boosté la majeure partie des ventes de fruits « Les GMS étaient notamment omniprésentes sur le marché, représentant pratiquement l’intégralité des ventes quotidiennes. Le kiwi n’a pas échappé à la règle et disposait de sorties très importantes sur cette période. Au retour (plus ou moins) à la normale, l’effet s’est estompé, cependant les ventes dans ce produit n’ont jamais été décevantes ».
Une récolte de pommes décevante quantitativement mais satisfaisante qualitativement
Aux côtés du kiwi, Rouquette commercialise actuellement des pommes : « Nous avons la chance sur notre région de disposer d’un terroir riche apportant de nombreuses variétés. C’est le cas de la Chantecler, cette variété rustique à la chair juteuse et sucrée est très appréciée des consommateurs. Sa récolte est là aussi (comme la majorité des fruits cette année) déficitaire, à l’image de la production de pommes en général. On parle de -30 % sur certaines variétés. Une récolte décevante quantitativement mais satisfaisante qualitativement ; nous proposons d’ailleurs nos Chanteclerc là aussi sous notre marque « La Belle Epoque ».
Pour plus d’informations : 
Julien Causse
Rouquette
Tél. : +33(0)5.63.65.14.76
Cell.: +33(0)6.48.74.41.07
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