Abonnez-vous à notre lettre d'information quotidienne pour vous tenir informé(e) des dernières actualités!

S'abonner Je me suis déjà inscrit(e)

Comme nous donnons la possibilité de consulter nos articles gratuitement, nous comptons sur les revenus de nos bannières publicitaires. Merci donc de désactiver votre bloqueur de publicités et de réactualiser la page pour pouvoir poursuivre votre visite sur ce site.

Cliquez ici pour savoir comment désactiver votre bloqueur de publicité.

Sign up for our daily Newsletter and stay up to date with all the latest news!

S'abonner I am already a subscriber

Manque de main-d'œuvre pour l'ananas réunionnais

Si les exportations d'ananas de La Réunion ont doublé en l'espace de 10 ans (2 700 tonnes exportées chaque année vers l'Hexagone et l'Europe), la filière peine à se développer et à produire ses ananas Victoria en quantité suffisante notamment en raison d'un manque de main-d'œuvre. 

Pour Daniel Moreau, à la tête Royal Bourbon et de l’Arifel, l’Association réunionnaise interprofessionnelle des fruits et légumes, ce chiffre pourrait être multiplié par deux s’agissant du marché du frais, et par trois ou quatre pour les produits transformés dans la prochaine décennie. Mais le principal problème des producteurs reste la main-d'œuvre.

Reportage de Réunion La 1ère :

Alors même que la filière fait face à une demande forte de la part des marchés nationaux et internationaux, les producteurs n'arrivent plus à recruter de saisonniers. « C’est un travail tellement physique que l’on ne trouve pas de jeunes. On a fait plusieurs essais mais ils se lassent très vite. Au début, ils sont motivés et au bout d’une semaine, plus rien », indiquent Varadane et Julie Patchane Lacane à la tête d’une exploitation au Tampon. 

Pour Daniel Moreau, l’une des solutions passerait par la mécanisation des exploitations pour pallier le manque de main-d’œuvre mais également par l'amélioration des conditions de travail.

Source : la1ere.francetvinfo.fr

Photo : © Loïs Mussard

Date de publication: