Abonnez-vous à notre lettre d'information quotidienne pour vous tenir informé(e) des dernières actualités!

S'abonner Je me suis déjà inscrit(e)

Comme nous donnons la possibilité de consulter nos articles gratuitement, nous comptons sur les revenus de nos bannières publicitaires. Merci donc de désactiver votre bloqueur de publicités et de réactualiser la page pour pouvoir poursuivre votre visite sur ce site.

Cliquez ici pour savoir comment désactiver votre bloqueur de publicité.

Sign up for our daily Newsletter and stay up to date with all the latest news!

S'abonner I am already a subscriber

Ail : les superficies en Espagne devrait baisser d'ici 2024

L'année prochaine, on prévoit une diminution des terres destinées à la culture de l'ail, selon les prévisions de la coopérative spécialisée dans l'ail violet de Las Pedroñeras, Coopaman. L'une des raisons de cette prévision est la « saison compliquée que nous avons connue l'année dernière, avec une perte de produit qui a oscillé entre 40 et 50 % », indique David Rodríguez Virgós, directeur de l'organisation.

Ce scénario est aggravé par « les difficultés croissantes rencontrées par nos agriculteurs pour accéder à l'eau, ainsi que par l'augmentation du coût des intrants. » La sécheresse prolongée et les restrictions sur l'extraction de l'eau compliquent l'ensemencement de cette culture essentielle dans la région. Rodríguez Virgós explique que « si l'ail, et en particulier l'ail violet de Las Pedroñeras, n'a pas besoin d'une quantité d'eau exorbitante », il a besoin « d'une quantité assez raisonnable, toujours inférieure à d'autres produits cultivés dans la région, comme l'oignon. » Il insiste néanmoins sur le fait qu'une quantité minimale d'eau est toujours nécessaire.

De plus, comme pour d'autres cultures, telles que le safran, le départ à la retraite des agriculteurs ne trouve pas de continuité dans les nouvelles générations. « Il y a des membres et des agriculteurs qui atteignent l'âge où ils cessent de cultiver, et il y a un manque évident de renouvellement des générations », affirme M. Rodríguez Virgós.

« Il s'agit d'un problème dont la solution est « très compliquée », mais qu'il est essentiel d'aborder ensemble. Non seulement nous, en tant que coopérative, et les entreprises du secteur, mais aussi les autorités doivent intervenir. »

Source : cadenaser.com

Date de publication: