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Une exploitation de Savéol infectée par le ToBRFV

La coopérative française Savéol a fait savoir que l’exploitation agricole touchée par le virus de la tomate faisait partie de son réseau. C’est ce qu’a confirmé Pierre-Yves Jestin, président de la coopérative, lors du Salon de l’agriculture.

Jusqu’alors, le ministère de l’agriculture avait juste précisé que les deux serres concernées se trouvaient dans le Finistère, sans mentionner de noms. Il avait précisé que si l’enjeu économique était grand (712 000 tonnes de tomates ont été produites, en France, en 2018), aucun risque n’était à déclarer du côté de la santé humaine.

Observé pour la première fois en Israël en 2014, le ToBRFV qui sévit aujourd’hui n’a pour l’instant aucun remède connu. Les fruits infectés présentent des décolorations, des taches jaunes ou brunes, des déformations et, parfois, des symptômes de rugosité. Si la filière française était à l’abri, elle a commencé à s’inquiéter en 2019, lorsque le Royaume-Uni et les Pays-Bas ont été frappés par le virus. L’Agence de sécurité sanitaire a d’ailleurs tiré la sonnette d’alarme, le 4 février, quelques jours avant l’annonce du premier cas identifié en France.

Aujourd’hui, le virus pourrait se propager au travers des exploitations de jardiniers amateurs. Des mesures de protection des cultures ont été entreprises par la filière.

 

Source : lemonde.fr

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