Abonnez-vous à notre lettre d'information quotidienne pour vous tenir informé(e) des dernières actualités!

S'abonner Je me suis déjà inscrit(e)

Comme nous donnons la possibilité de consulter nos articles gratuitement, nous comptons sur les revenus de nos bannières publicitaires. Merci donc de désactiver votre bloqueur de publicités et de réactualiser la page pour pouvoir poursuivre votre visite sur ce site.

Cliquez ici pour savoir comment désactiver votre bloqueur de publicité.

Sign up for our daily Newsletter and stay up to date with all the latest news!

S'abonner I am already a subscriber

Retour du melon du Quercy

L’IGP Melon du Quercy sera bientôt sur les étals. En effet, la récolte s’annonce avec de l’avance sur la saison et devrait s’étaler de mi-juin à septembre. 

Ce melon, qui a obtenu son Indication Géographique Protégée (IGP) le 24 juin 2004, est cultivé « à flanc de collines à cheval sur les départements du Lot, du Tarn-et-Garonne et du Lot-et-Garonne », indiquaient les représentants du label. Il est récolté à la main, puis transporté le jour même aux stations de conditionnement à Moissac, ainsi qu'à Fontanes. Il est ensuite trié, emballé et expédié dans la journée. Le logo « Melon du Quercy » est apposé après un contrôle rigoureux.

« Regroupés sur des exploitations familiales et traditionnelles, ces 76 melonniers du Quercy mettent tout en œuvre pour récolter le meilleur produit sur près de 453 hectares cultivés. Aujourd’hui, la moyenne des exploitations a entre 3 et 5 hectares de melons. Les plus importantes ont 8 à 10 hectares », détaillent les maraîchers. Ils produisent près de 9 000 tonnes de melons dont la moitié est commercialisée sous le label IGP Melon du Quercy. Le reste est vendu sous des marques distributeurs ou d’autres marques commerciales.

Le melon du Quercy répond à un cahier des charges strictes. On note par exemple l'usage des abeilles dans sa production pour la pollinisation des fleurs de melons. L’IGP permet d’assurer l’avenir de l’économie locale qui dépend des revenus d’une agriculture diversifiée. De plus, les producteurs travaillent davantage vers une démarche labélisée « zéro résidu de pesticides ».

 


Source : ladepeche.fr

Articles connexes → See More