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Erik-Jan Thur, de Marni Fruit :

« Le manque d'eau est de loin le plus grand défi de la saison espagnole »

Chez Marni Fruit, nous transférons actuellement les fruits à noyau du sud vers le nord de l'Espagne. « Mardi, nous commencerons à nous approvisionner à Saragosse. Nous commencerons par les pêches, puis les nectarines, les paraguayos et les platerines suivront bientôt », explique Erik-Jan Thur de Marni Fruit. Selon lui, le problème majeur de cette saison est la pénurie d'eau. « Cette semaine, j'ai parlé à notre fournisseur de Saragosse, qui doit actuellement s'approvisionner en eau dans les Pyrénées. Pour lui, c'est la première fois dans sa carrière de cultivateur que la situation est aussi extrême. Et il en est assez proche. Tous les producteurs n'ont pas cette possibilité. »

« Ceux qui sont du bon côté seront en mesure de livrer de plus gros calibres, mais il y aura aussi des producteurs qui n'alimenteront que de petits calibres ou qui devront faire beaucoup de pauses d'approvisionnement », prévoit Thur. Si l'on ajoute à cela les intempéries qui frappent actuellement l'Italie, il ne faut pas s'attendre à des excédents immédiats de fruits à noyau cette saison. Les prix se situent actuellement à un bon niveau et on peut constater que les producteurs sont maintenant plus enclins à maintenir ces prix. Pour toutes les variétés et tous les emballages, la demande est bonne. Alors qu'elle se portait principalement sur les emballages de 10x1 kg ou les plateaux à une couche, elle se répartit maintenant sur l'ensemble des possibilités proposées.

« En ce qui concerne les pastèques, comme toujours, c'est une lutte acharnée. Cette année, le marché a démarré assez haut, mais il est retombé assez rapidement à un niveau d'environ 50 cents. Avec le beau temps que nous avons maintenant, le prix est remonté pour atteindre un prix au kilo d'environ 65-75 cents. Une fois que la saison commencera en Murcie, je m'attends à ce que le prix se stabilise si le temps reste au beau. En ce qui concerne les melons jaunes, il y a beaucoup de gros calibres et la disponibilité des petits calibres est un peu plus difficile. »

« Nous chargeons également en ce moment des cerises espagnoles. Ces ventes se déroulent également sans problème. Au départ, on s'attendait à beaucoup de gros calibres, mais lorsque j'appelle mes fournisseurs, j'entends dire que la pluie de la semaine dernière a fait beaucoup de dégâts. Et s'il y a quelque chose de désastreux pour une cerise, c'est bien la pluie qui s'abat sur les vergers en fruits. On observe donc quelques éclats. En tant qu'importateurs, nous comprenons cette situation, mais pour être honnête, il m'arrive de ne pas comprendre les clients. On a parfois l'impression que personne ne se pose la question de savoir pourquoi il peut y avoir quelques cerises abîmées dans une boîte. Personnellement, cela me gêne de plus en plus. »

Pour plus d'informations :
Erik-Jan Thur
Marni Fruit
Tél. : +31 180 697 996
ej@marnifruit.nl 
www.marnifruit.nl 

Date de publication: