Les dernières palettes de cerises que le producteur ZZ2 cultive dans le nord de l'Afrique du Sud ont quitté le pays lundi, à destination d'acheteurs prêts à payer pour ce qui est l'une des rares cerises disponibles dans le monde au mois d'octobre.
C'est le mois qui suit le Canada et qui précède le début de la récolte au Chili et au Cap occidental en Afrique du Sud, et la demande de ces cerises sud-africaines précoces est très positive à cette époque, explique Chris Swart de Core Fruit. Elles se vendent rapidement au Moyen-Orient, en Extrême-Orient et au Royaume-Uni.
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Traditionnellement, les Européens ne recherchaient pas ces fruits en dehors de la période des cerises, si étroitement associée à Noël, note-t-il, et maintenant, même à partir de là, les demandes augmentent.
Avant cette saison, il leur avait semblé que le Canada pourrait peut-être se terminer plus tard, mais avant qu'ils ne s'en rendent compte, dit-il, leurs clients leur ont indiqué que les cerises canadiennes étaient épuisées, et ils ont démarré en trombe. "Nos cerises sont arrivées et reparties très rapidement.
La pluie a quelque peu écourté la fin de la récolte, mais ils avaient fait ce qu'ils voulaient.
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La récolte suscite de grandes attentes
Dans la province du Cap occidental, les nectarines sont emballées depuis environ trois semaines. La récolte des prunes suivra dans deux ou trois semaines.
"À ce stade, la saison des fruits à noyau s'annonce très positive en termes de volume et de qualité, et la principale raison en est le printemps sec et chaud que nous avons connu cette année", observe-t-il. Les sucres et la couleur semblent avoir particulièrement progressé, remarque-t-il.
En ce qui concerne le fruit à noyau, les États-Unis et la Chine ont les mêmes besoins
Le fruit à noyau sud-africain s'est trouvé une niche aux États-Unis, et ils ne veulent pas s'en séparer, dit-il. "On nous dit qu'aux États-Unis, notre fruit à noyau est considéré comme meilleur que l'alternative sud-américaine et qu'il est même un peu plus précoce.
Les volumes de fruits à noyau d'Afrique du Sud sont beaucoup plus faibles que ceux du Chili. "Notre qualité gustative est un facteur différentiel aux États-Unis. Les volumes exportés seront donc moindres, mais nous ne fermons pas ce marché.
L'Afrique du Sud pourrait envoyer des fruits à noyau en Chine pour la première fois et, fortuitement, remarque-t-il, les spécifications exigées par la Chine ainsi que les protocoles d'expédition sont très similaires à ceux des États-Unis.
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Chris Swart
Core Fruit
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