Abonnez-vous à notre lettre d'information quotidienne pour vous tenir informé(e) des dernières actualités!

S'abonner Je me suis déjà inscrit(e)

Comme nous donnons la possibilité de consulter nos articles gratuitement, nous comptons sur les revenus de nos bannières publicitaires. Merci donc de désactiver votre bloqueur de publicités et de réactualiser la page pour pouvoir poursuivre votre visite sur ce site.

Cliquez ici pour savoir comment désactiver votre bloqueur de publicité.

Sign up for our daily Newsletter and stay up to date with all the latest news!

S'abonner I am already a subscriber
Yves D`Hauwers, De Smet :

« L'offre et la demande sont bien équilibrées pour l'endive cette saison »

« Jusqu'à présent, nous pouvons dire que 2019/2020 a été une bonne année pour le secteur de l'endive. L'offre et la demande étaient bien équilibrées et cet hiver le prix de l'endive était assez élevé », explique Yves D`Hauwers de l'entreprise De Smet. « Selon nous, la demande d'endive est relativement stable depuis des années. Cependant, le nombre de producteurs diminue. Du fait de la montée en puissance des entreprises, il y a pas mal de concurrence sur le marché et elle ne devrait pas diminuer dans les années à venir. Les entreprises doivent réaliser des investissements et dépendre moins de l'aide de la famille. »

 

« En Belgique, l'endive figure sur la liste des légumes les plus consommés. Par conséquent, nous ne pensons pas qu'il y ait une croissance exponentielle de la demande. C'est un légume reconnu par les petits et les grands comme un produit belge et fait donc partie de notre patrimoine national. À notre avis, le vieillissement de la population n'entraînera certainement pas une baisse de la consommation. Nous devons cependant prêter attention à la manière dont les consommateurs feront leurs courses à l'avenir. Ces dernières années, la chaîne courte est de plus en plus employée », explique Yves.

Il existe une demande de bio en Belgique, mais le marché reste très restreint. « La demande pourrait augmenter dans les années à venir, mais il est très difficile pour les grandes entreprises de cultiver de l'endive biologique en plus de la conventionnelle », poursuit D`Hauwers. « Divers centres de recherche dans des pays où l'endive est un produit important, comme la Belgique et les Pays-Bas, travaillent également sur de nouvelles variétés. L'amélioration de divers éléments du produit de base est essentielle pour l'avenir de notre secteur, pour lutter contre les maladies et pouvoir mieux conserver les racines. »

Pour plus d’informations : 
De Smet / Primalof 
Yves D`Hauwers 
Leeg Bracht 23
9860 Balegem
Belgique
Tél. : +32(0)9 3627 478
Fax. : +32(0)495 303121
[email protected]    
www.primalof.be   

Date de publication: