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Produits frais : les grands oubliés des courses de confinement

Après la ruée sur les pâtes, la farine, l'huile et autres produits de longue conservation, Didier Guillaume, ministre de l’agriculture, a appelé les français à consommer plus de produits frais. En effet, le comportement des consommateurs a changé à cause de la crise sanitaire en cours. Du lait aux fruits en passant par la viande et le poisson, les habitudes alimentaires des français doivent reprendre afin que les différentes filières soient préservées. 

Pour les fruits et légumes, « il y a un recentrage sur les familles de produits de consommation courante, comme la pomme de terre, parce que ça se conserve et qu’on peut en faire beaucoup de choses », explique Thomas Vallenet, directeur commercial de Ribégroupe, grossiste en fruits et légumes dans le nord de la France. Certains produits simples à préparer comme les agrumes et les tomates ont rencontrés un certain succès. En revanche, « l’asperge, la fraise souffrent énormément », indique Laurent Grandin, président d’Interfel.

Afin de répondre au problème de main-d’œuvre rencontré par certains agriculteurs, l’interprofession a demandé au gouvernement de mettre en place des contrats spécifiques pour permettre d’attirer les nombreux salariés de l’horticulture au chômage technique.

La question se pose toujours de savoir si « Une fois cette première phase ayant bénéficié à un certain nombre de produits plus naturellement stockables, est-ce que les gens vont ressortir pour acheter des fruits et légumes ou est-ce qu’à la fin de cette période, ils vont manger l’ensemble des conserves, du riz, des pâtes qu’ils ont pu acheter, un phénomène qui s'est observé auprès de nos collègues européens ? », s’interroge Laurent Grandin, qui milite pour le maintien des marchés de plein air.

A cause du coronavirus, les marchés de gros italiens ont baissé de 30 à 50 %.

 


Source : 20minutes.fr

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