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Pierre Gélébart, Prince de Bretagne : Une deuxième partie de saison qui commence mieux que la première, en juin

« La saison des artichauts est loin d’être finie ! »

C’est confiantes que les coopératives de Prince de Bretagne entament la deuxième partie de saison de l’artichaut – toutes variétés confondues –, qui représente environ 5 000 tonnes de produit soit plus d’un quart des volumes de la campagne. « De fin août à fin octobre, c’est la deuxième saison de l’artichaut pour nous. Depuis le 15 août, nous montons en volumes et commercialiserons le produit au moins encore sur deux bons mois », rapporte Pierre Gélébart, chef de produit chez Prince de Bretagne.

Un regain d’intérêt pour l’artichaut à l’approche de la rentrée
Bien que tous les ans, la production connaisse un creux en termes de volumes sur l’été, cette tendance fut particulièrement marquée cette année : « Cela a été principalement dû à la météo, avec beaucoup de volumes qui sont arrivés en juin. Ce qui a automatiquement généré un creux plus important dans la production sur juillet/août. Mais cette deuxième partie de saison commence plutôt bien en termes de culture comme au niveau du commerce. Les têtes poussent bien grâce au soleil de ces derniers jours, et les plantes sont robustes grâce à la pluie que nous avons eue cet été. La qualité est donc au rendez-vous. Pour ce qui est des ventes, avec la rentrée on sent qu’il y a un regain d’intérêt pour l’artichaut. On espère tout de même que la canicule ne durera pas trop car l’artichaut reste un légume à cuire, que l’on préfère consommer sous des températures raisonnables ».

Si Prince de Bretagne destine ses gros artichauts verts et violets (Camus et Cardinal) principalement au marché français, historiquement, le petit violet et les petits calibres de charnus sont également exportés en l’Italie vers le début du mois de septembre.

Les ventes par soumission : un moyen mettre en place des opérations et de garantir des volumes
Bien que le mode de vente de l’artichaut reste principalement le marché au cadran, Prince de Bretagne a mis en place un mode de vente par soumission pour permettre à ses clients de mettre en place des opérations et d’avoir ainsi des garanties de volumes. « Les expéditeurs se positionnent sur un prix et des volumes le mercredi, si leur proposition est retenue, la marchandise est mise à disposition du vendredi au jeudi de la semaine suivante. Cela permet d’avoir un prix lissé, une garantie d’approvisionnement et la mise en place d’opérations commerciales avec la distribution. Grâce à l’engagement qu’induit la soumission, elle sera toujours livrée en priorité ».

Les conditionnements
Conditionnés en colis bois 60x40 suivant le calibre (12/15/24/30 têtes) l’artichaut de Bretagne est aussi disponible en caisse plastique, colis carton.

Pour s’adapter aux besoins des points il est également disponible en colis 40x30 de 6 ou 8 têtes.

La transformation
Suite à la mise à l’arrêt de l’usine de transformation (fonds et cœurs) au printemps 2022, beaucoup de petits calibres ne trouvaient pas preneur. « Mais la situation s’améliore et des volumes sont exportés vers des usines européennes. Les producteurs sont à l’écoute de toute demande spécifique à destination de l’industrie ».

Pour plus d’informations :
Pierre Gelebart
Prince de Bretagne
Tél. : +33 2 98 69 38 71
Cell. : +33 6 62 92 64 74
[email protected]
www.princedebretagne.com/fr