Abonnez-vous à notre lettre d'information quotidienne pour vous tenir informé(e) des dernières actualités!

S'abonner Je me suis déjà inscrit(e)

Comme nous donnons la possibilité de consulter nos articles gratuitement, nous comptons sur les revenus de nos bannières publicitaires. Merci donc de désactiver votre bloqueur de publicités et de réactualiser la page pour pouvoir poursuivre votre visite sur ce site.

Cliquez ici pour savoir comment désactiver votre bloqueur de publicité.

Sign up for our daily Newsletter and stay up to date with all the latest news!

S'abonner I am already a subscriber

La méthanisation pour sauver les pommes

Alors que la consommation du cidre, produit à 90 % en Bretagne et en Normandie, était en pleine décroissance, la filière cidricole avait lancé un appel d’urgence pour la mise en place d’un plan de soutien, dès avril dernier.

Après plusieurs années de mauvaises récoltes, 2020 devait être l’année qui aurait permis aux producteurs de cidre de se refaire une santé économique. Malheureusement, la crise liée au coronavirus a considérablement affecté les ventes.

Dès avril, l’Union nationale interprofessionnelle cidricole (Unicid) évaluait à 200 000 hectolitres de cidre, et 100 000 tonnes de pommes dédiées à cette production, les volumes à retirer du marché. Elle demandait aussi un plan de secours de 22 millions d’euros, constitué d’une aide de 60 euros par hectolitre de cidre et 100 euros par tonne de pommes à recycler. Au final, l’État donnera 5 millions d’euros.

Une grande partie de la méthanisation devrait être utilisée comme carburant pour les véhicules. Déjà en 2018, la RATP affichait une campagne GRDF annonçant : « Ce bus roule aux trognons de pommes ». Quelques années plus tôt, l’agence expliquait le fonctionnement au travers d’une vidéo informative :

Pour l’instant, le défi est de trouver des unités de méthanisation localement disponibles pour traiter les importants volumes disponibles.

 


Source : gaz-mobilite.fr

Date de publication: