Abonnez-vous à notre lettre d'information quotidienne pour vous tenir informé(e) des dernières actualités!

S'abonner Je me suis déjà inscrit(e)

Comme nous donnons la possibilité de consulter nos articles gratuitement, nous comptons sur les revenus de nos bannières publicitaires. Merci donc de désactiver votre bloqueur de publicités et de réactualiser la page pour pouvoir poursuivre votre visite sur ce site.

Cliquez ici pour savoir comment désactiver votre bloqueur de publicité.

Sign up for our daily Newsletter and stay up to date with all the latest news!

S'abonner I am already a subscriber

Des radis de l'espace

Les premiers radis cultivés à bord de l’ISS viennent d’être récoltés par l’astronaute Kate Rubins. La vingtaine de plants a ensuite été placée dans une chambre froide pour être analysée sur Terre, l’année prochaine.

Cette expérience de la NASA a pour but d’étudier la culture de produits frais en milieu de microgravité afin de pouvoir remplacer à terme les plats lyophilisés consommés actuellement par les astronautes. Au-delà du goût qui ne satisfait pas tous les palais, certaines vitamines (C et K) contenues dans ces plats ont tendance à disparaitre avec le temps.

Les cultures ont été réalisées dans de petites chambres de croissance équipées d’un éclairage LED et d’un système d’arrosage à bord de la station spatiale ainsi que sur terre, afin de pouvoir comparer les récoltes. La betterave a été choisie pour être cultivée dans ces modules de germination de la taille d’un mini-réfrigérateur, Advanced Plant Habitat (APH), pour ses qualités nutritives et sa croissance rapide.

« Des systèmes de contrôle sophistiqués fournissent de l’eau, tandis que des caméras de contrôle et plus de 180 capteurs dans la chambre permettent aux chercheurs du Kennedy Space Center de la NASA de surveiller la croissance des plantes ainsi que de réguler les niveaux d’humidité, la température et la concentration de dioxyde de carbone (CO2) », précise la NASA.

En contraste avec les précédentes expériences de l’APH et du système de production végétale (Veggie) qui s’appuyaient sur de l’argile poreuse préchargée avec un engrais à libération lente, cet essai repose sur des quantités précisément définies de minéraux fournis.

Déjà, entre 2003 et 2005, les équipes russes avaient réussi à faire germer des petits pois.

 


Source : sciencepost.fr

Date de publication: