Abonnez-vous à notre lettre d'information quotidienne pour vous tenir informé(e) des dernières actualités!

S'abonner Je me suis déjà inscrit(e)

Comme nous donnons la possibilité de consulter nos articles gratuitement, nous comptons sur les revenus de nos bannières publicitaires. Merci donc de désactiver votre bloqueur de publicités et de réactualiser la page pour pouvoir poursuivre votre visite sur ce site.

Cliquez ici pour savoir comment désactiver votre bloqueur de publicité.

Sign up for our daily Newsletter and stay up to date with all the latest news!

S'abonner I am already a subscriber

Bio c’Bon ouvre son capital au groupe japonais Aeon

Déjà partenaires depuis quelques années, les magasins Bio c’Bon et le groupe Aeon ont décidé de s’engager encore un peu plus dans leur partenariat : le leader japonais de la distribution (65 milliards d'euros de chiffre d'affaires) a annoncé mercredi avoir pris une participation de 19,9 % dans le capital de la filiale française Bio c'Bon. Les deux entreprises, qui avaient lancé leur association en 2016, doivent ouvrir ce week-end leur 8e magasin japonais, avec l'ambition d'atteindre 50 points de vente d'ici à trois ans.

Le bio reste assez nouveau au Japon. « Sur ce segment, le Japon, c'est la France il y a dix ans », explique Thierry Chouraqui, PDG de Bio c' Bon, dans une interview pour Les Echos. Mais la demande se faisant de plus en plus grande, la chaîne de magasin a ouvert sa première boutique nippone en décembre 2016 à Tokyo. « Sans un tel partenaire, il aurait été impossible de se lancer au Japon », explique-t-il.

« Les produits biologiques proposés par Bio c' Bon sont soumis à un ensemble de règles spécifiques, soit les Japanese Agricultural Standards (JAS) pour les produits japonais ou le label Agriculture Biologique (AB) pour les produits français », explique le site ccifj.or.jp.

En plus des produits issus de l’agriculture japonaise, Bio c' Bon importe au Japon des références « made in France » telles que du vin, du fromages, de l'épicerie ou encore des cosmétiques.

La principale difficulté est l’approvisionnent en produits locaux. En effet, seul 0,2 % de la production agricole nippone est cultivée en agriculture biologique. Il est ainsi très difficile de trouver des fournisseurs et un travail d'éducation et de pédagogie doit être fait pour faire évoluer les mentalités et les pratiques des agriculteurs.

Source : Bio Addict

Date de publication: