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Webinar Natexpo

« La bio est un pré-requis, comment aller plus loin ? »

Face à l'accroissement des labels et aux exigences toujours plus fortes des consommateurs, comment se positionne aujourd'hui le label Bio ? Une question centrale lors du dernier Webinar Natexpo « La bio est un pré-requis, comment aller plus loin ? ». 

La complémentarité des signes de qualité
Pour Blaise Desbordes, Directeur Général de Max Havelaar France, il y a un effet cumulatif des signes de qualité. « Le bio n'est pas un pré-requis, car ce n'est pas le même sujet ! Il faut les deux : la protection du producteur et la protection de l’environnement. Tous les partenaires qui choisissent un label équitable, peuvent composer l’itinéraire de durabilité qui leur convient. Par exemple, commencer par le bio et continuer avec le commerce équitable pour apporter une complémentarité. Il y a une pluralité de possibilités. »

La bio : une opportunité pour relocaliser des filières en France
Répondre au besoin des consommateurs d’avoir du Made in France tout en ayant du bio. Adrien Petit, Directeur du Cluster Bio (Auvergne-Rhône-Alpes), affirme que le bio permet de relocaliser des filières. « on a même pu observer l'émergence de filières boostées par le bio. Avant y avait système AOP, AOC très vertueux et le bio avec son cahier des charges public a réussi à relancer certaines filières. »

La bio pénalisée par la multitude de labels 
Bio, Sans résidu de pesticides, Zéro Résidu de pesticides, agriculture raisonnée, durable ou encore nouvelle agriculture... Le label Bio se positionne de plus en plus difficilement face au développement des labels. Se pose également la question de sa valorisation. « C'est très compliqué de s'y retrouver, le consommateur est perdu », indique Sébastien Loctin, fondateur de Biofuture. De quoi parle-t-on réellement en termes de process et d’impact environnemental ? Il y a une problématique de régulation de l'information et d'harmonisation de l'information. »