Abonnez-vous à notre lettre d'information quotidienne pour vous tenir informé(e) des dernières actualités!

S'abonner Je me suis déjà inscrit(e)

Comme nous donnons la possibilité de consulter nos articles gratuitement, nous comptons sur les revenus de nos bannières publicitaires. Merci donc de désactiver votre bloqueur de publicités et de réactualiser la page pour pouvoir poursuivre votre visite sur ce site.

Cliquez ici pour savoir comment désactiver votre bloqueur de publicité.

Sign up for our daily Newsletter and stay up to date with all the latest news!

S'abonner I am already a subscriber

Les Alpes Maritimes prennent la voie du zéro pesticide

Le 2 juillet, le président du département des Alpes Maritimes, Charles-Ange Ginésy, a annoncé son engagement vers le zéro pesticide. Seize structures issues du secteur agricole et de la jardinerie ont signé une charte « Engagement vers le zéro pesticide ». Parmi eux, on compte la Chambre d’agriculture des Alpes-Maritimes, la Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles (FDSEA), la Confédération paysanne, les Jeunes agriculteurs, Agribio 06, ou la Fédération nationale de production de l’horticulture et des pépinières (FNPHP).

« Nous sommes le premier département français à avoir un tel partenariat qui regroupe seize acteurs désireux d’adhérer aux valeurs du développement durable. Autant dire que nous vivons aujourd’hui un moment important car les objectifs de cette charte sont de protéger l’environnement, les ressources naturelles et la biodiversité mais également de protéger la santé humaine », s’exclame Charles-Ange Ginésy.

Lors de la signature, les partenaires ont visité la Cream, une station d’expérimentation répondant aux attentes du plan Ecophyto. Elle utilise notamment des insectes pour lutter contre les ravageurs : « sur de nombreuses cultures comme le gerbéra, la rose, l’anémone ou la renoncule, nous lâchons ces auxiliaires de culture pour étudier leur efficacité par rapport aux ravageurs, leurs conditions de développement et les méthodes culturales appropriées à ces nouvelles pratiques », précise Charles-Ange Ginésy.

 


Source : campagnesetenvironnement.fr

Date de publication: