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La production baisse et les fluctuations de prix prévalent

Espagne : Le prix des abricots de Murcie, entre 50 % et 80 % moins cher

La région de Murcie, d'une manière générale, souffre « d'une sécheresse intense qui dure depuis plusieurs années. Elle a touché toutes les cultures, en particulier les cultures sans irrigation, mais aussi celles qui étaient irriguées ». C'est ce qui ressort d'un rapport publié par le Service de coordination des bureaux régionaux de l'agriculture, concernant les incidents et les dégâts en 2018 dans la région de Murcie où les rendements des cultures touchées ont connu des baisses extraordinaires. Le rapport propose de « maintenir les indices de rendement net des cultures sèches au niveau de l'année précédente. » 

Le document se réfère à l'oscillation subie par les prix et indique que « la coupure de l'irrigation en provenance du Tage (Segura), interrompue jusqu'en mai, a provoqué une incertitude dans le secteur, par rapport aux plantations et à l'offre dans tout le secteur horticole. Ces incertitudes sont plus palpable dans le cas de la culture de laitue. Dans les cultures horticoles destinées à l'exportation en hiver, comme c'est encore le cas de la laitue, le coût du transport a augmenté en raison des réductions frontalières subies en France. Les prix reçus par l'agriculteur ont beaucoup fluctué et sont inférieurs aux coûts de production pendant la majeure partie de la saison. » 

En août, septembre et octobre, avec une humidité relative et des températures élevées, les maladies fongiques ont augmenté. Dans les deux cas, il y a eu des diminutions importantes de la production.

Selon la capacité statistique de la culture des pêches, il y a une diminution des rendements au niveau régional de 20,86 %, dont seulement 2,76 % sont imputables aux événements météorologiques. Le reste peut être attribué à d'autres raisons, principalement la pénurie d'eau. Dans le cas des abricots, bien que les rendements aient été légèrement supérieurs à ceux de l'an dernier, les prix atteints au cours de la campagne ont été nettement inférieurs à la moyenne des années précédentes. Par exemple, dans la première catégorie, le prix reçu par l'agriculteur est inférieur à 50 % du prix reçu l'année précédente et supérieur à 80 % si l'on se réfère à l'abricot pour la deuxième catégorie.

Dans le secteur des agrumes, en général, il y a eu des différences de prix à certains moments qui correspondent à des pics de production, avec des paiements aux agriculteurs qui n'ont pas réussi à couvrir leurs coûts de production.

Source : La Verdad

 

Date de publication: